Dakhla, capitale de la mode africaine, consacre sa vocation internationale et son ouverture sur son voisinage africain
Saâd Abou Dihaj - MAP
Quatre jours durant (21-24 novembre), la ville de Dakhla, joyau des provinces du sud du Maroc, s'est transformée en capitale de la mode et de la création africaine, consacrant ainsi sa vocation internationale et son ouverture sur son voisinage africain.
Porte d’entrée du Maroc vers l’Afrique et destination touristique en plein essor, Dakhla a réussi haut la main son pari d’organiser la 11ème édition du Festival international de la mode en Afrique (FIMA), placé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.
La ville, qui jouit d’un cadre naturel exceptionnel mariant sable du désert et vagues de l’océan, a réalisé là une belle victoire à l’échelle africaine puisque le président fondateur de ce festival, le célèbre styliste nigérien Alphadi Seidnaly, a d’ores et déjà annoncé que cet événement sera organisé désormais à Dakhla tous les deux ans.
Il s’agit, pour les organisateurs de cet événement, qui a accueilli cette année des exposants de plus de 30 pays du continent autour du thème "L’art et la culture, vecteurs d’intégration africaine", de faire de Dakhla le point de départ d’un projet ambitieux visant à assurer l’essor de la mode africaine et lui ouvrir la voie vers une reconnaissance internationale.
Le choix porté sur la ville de Dakhla est amplement mérité, affirme Alphadi, qui met en exergue la forte dynamique que connait cette cité en passe de devenir une passerelle pour la culture et la création artistique entre le nord et le sud de l’Afrique, ainsi qu’un point de rapprochement entre les peuples du continent et une vitrine reflétant la richesse et la diversité de la civilisation africaine.
Alphadi, créateur de mode de renommée mondiale et président de la Fédération africaine des créateurs, souligne aussi que le Maroc, partenaire économique de choix au sein de l’Afrique, peut jouer un rôle considérable en matière de promotion de la diversité culturelle, artistique et civilisationnelle du continent, source de développement local et vecteur de création d’emplois.
Le styliste, également ambassadeur de bonne volonté du Niger et ambassadeur et artiste pour la paix à l’UNESCO dans le domaine de la culture et de l’art, relève dans ce sens que «le Royaume est un acteur principal dans tous les efforts qui visent l’essor du continent africain et la contribution à son développement».
Il s’est dit, en outre, confiant de voir la ville de Dakhla, et à travers elle le Maroc, ouvrir la porte aux créateurs africains pour faire connaitre leurs œuvres dans le domaine de la mode et du stylisme et contribuer au développement de l'Afrique sur les plans artistique et économique, en faisant de la culture, de la création et du patrimoine immatériel des outils en faveur du progrès du continent.
Le Festival international de la mode en Afrique, qui s’est tenu cette année pour la première fois en dehors du Niger, s'est transformé en un incubateur pour les talents issus de différentes régions du monde, notamment d’Afrique, et en plateforme mettant en avant la richesse culturelle, artistique et civilisationnelle de ce continent.
Sous l’impulsion de son fondateur, le FIMA a organisé la première édition du salon "Haské" (Lumière en haoussa), un espace de promotion et d’exposition destiné aux marques de mode d’habillement, d’accessoires, de bijouteries et aux marques de beauté et cosmétique.
Les organisateurs du FIMA ont, tout aussi, tendu la main aux autres expressions artistiques, en ouvrant leurs portes à l’association Arkane, qui milite notamment pour la promotion de l’art contemporain en Afrique et de ses diasporas.
Porte d’entrée du Maroc vers l’Afrique et destination touristique en plein essor, Dakhla a réussi haut la main son pari d’organiser la 11ème édition du Festival international de la mode en Afrique (FIMA), placé sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI.
La ville, qui jouit d’un cadre naturel exceptionnel mariant sable du désert et vagues de l’océan, a réalisé là une belle victoire à l’échelle africaine puisque le président fondateur de ce festival, le célèbre styliste nigérien Alphadi Seidnaly, a d’ores et déjà annoncé que cet événement sera organisé désormais à Dakhla tous les deux ans.
Il s’agit, pour les organisateurs de cet événement, qui a accueilli cette année des exposants de plus de 30 pays du continent autour du thème "L’art et la culture, vecteurs d’intégration africaine", de faire de Dakhla le point de départ d’un projet ambitieux visant à assurer l’essor de la mode africaine et lui ouvrir la voie vers une reconnaissance internationale.
Le choix porté sur la ville de Dakhla est amplement mérité, affirme Alphadi, qui met en exergue la forte dynamique que connait cette cité en passe de devenir une passerelle pour la culture et la création artistique entre le nord et le sud de l’Afrique, ainsi qu’un point de rapprochement entre les peuples du continent et une vitrine reflétant la richesse et la diversité de la civilisation africaine.
Alphadi, créateur de mode de renommée mondiale et président de la Fédération africaine des créateurs, souligne aussi que le Maroc, partenaire économique de choix au sein de l’Afrique, peut jouer un rôle considérable en matière de promotion de la diversité culturelle, artistique et civilisationnelle du continent, source de développement local et vecteur de création d’emplois.
Le styliste, également ambassadeur de bonne volonté du Niger et ambassadeur et artiste pour la paix à l’UNESCO dans le domaine de la culture et de l’art, relève dans ce sens que «le Royaume est un acteur principal dans tous les efforts qui visent l’essor du continent africain et la contribution à son développement».
Il s’est dit, en outre, confiant de voir la ville de Dakhla, et à travers elle le Maroc, ouvrir la porte aux créateurs africains pour faire connaitre leurs œuvres dans le domaine de la mode et du stylisme et contribuer au développement de l'Afrique sur les plans artistique et économique, en faisant de la culture, de la création et du patrimoine immatériel des outils en faveur du progrès du continent.
Le Festival international de la mode en Afrique, qui s’est tenu cette année pour la première fois en dehors du Niger, s'est transformé en un incubateur pour les talents issus de différentes régions du monde, notamment d’Afrique, et en plateforme mettant en avant la richesse culturelle, artistique et civilisationnelle de ce continent.
Sous l’impulsion de son fondateur, le FIMA a organisé la première édition du salon "Haské" (Lumière en haoussa), un espace de promotion et d’exposition destiné aux marques de mode d’habillement, d’accessoires, de bijouteries et aux marques de beauté et cosmétique.
Les organisateurs du FIMA ont, tout aussi, tendu la main aux autres expressions artistiques, en ouvrant leurs portes à l’association Arkane, qui milite notamment pour la promotion de l’art contemporain en Afrique et de ses diasporas.