Emir du Qatar : Les pays du blocus ne veulent pas d'une solution
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L’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad, a réaffirmé, mardi, que son pays est disposé à un dialogue basé sur le respect mutuel de la souveraineté pour résoudre la crise du Golfe.
Il a cependant considéré que les indices provenant des pays en rupture avec son pays prouvent qu’ils « ne veulent pas aboutir à une solution ».
C’est ce que l'Emir a souligné dans son allocution, devant le Conseil de la choura (parlement qatari), mardi, lors de sa 46ème session.
Tamim Ben Hamad a précisé, dans ce contexte, que son gouvernement œuvre à établir un système électoral pour le choix des membres du Conseil de la choura, qui sont actuellement désignés par l’émir.
« Nous sommes disposés à régler la situation dans le cadre du dialogue, basé sur le respect mutuel de la souveraineté et des engagements communs, mais, nous sommes conscients que les indices provenant des pays du blocus prouvent qu’ils ne veulent pas aboutir à une solution », a-t-il relevé.
L'émir qatari a d’autre part, assuré: « nous ne craignons pas la rupture des pays du blocus avec le Qatar car notre pays va bien sans eux, mais, la vigilance est requise ».
Et de poursuivre: « ce n’est pas vrai que ces pays se contentent de la rupture car ils continuent leur ingérence dans les affaires internes du Qatar et à prendre des mesures de sanction collective contre le peuple qatari ».
L’émir a également souligné, dans son discours, que ce différend n’aboutira pas à une partie vainqueur et une partie vaincue, notant que s’il se poursuit, il aura des effets néfastes sur le Conseil de Coopération du Golfe et sur ses intérêts.
Il a, d’autres part, considéré que les pays du blocus « ont eu pour objectif, par leurs mesures, de provoquer un choc politique affectant la stabilité de notre pays et nous obligeant à accepter la tutelle et à céder notre indépendance », ajoutant que leur deuxième plan vise à déstabiliser l’économie du Qatar.
Il a précisé, dans ce sens, que le riyal qatari a été visé.
Evoquant les affaires internes du Qatar, l’émir a indiqué que « le gouvernement prépare actuellement les élections du Conseil de la choura et met en place les outils législatifs nécessaires qui garantissent le bon déroulement de ces élections ».
C’est ce que l'Emir a souligné dans son allocution, devant le Conseil de la choura (parlement qatari), mardi, lors de sa 46ème session.
Tamim Ben Hamad a précisé, dans ce contexte, que son gouvernement œuvre à établir un système électoral pour le choix des membres du Conseil de la choura, qui sont actuellement désignés par l’émir.
« Nous sommes disposés à régler la situation dans le cadre du dialogue, basé sur le respect mutuel de la souveraineté et des engagements communs, mais, nous sommes conscients que les indices provenant des pays du blocus prouvent qu’ils ne veulent pas aboutir à une solution », a-t-il relevé.
L'émir qatari a d’autre part, assuré: « nous ne craignons pas la rupture des pays du blocus avec le Qatar car notre pays va bien sans eux, mais, la vigilance est requise ».
Et de poursuivre: « ce n’est pas vrai que ces pays se contentent de la rupture car ils continuent leur ingérence dans les affaires internes du Qatar et à prendre des mesures de sanction collective contre le peuple qatari ».
L’émir a également souligné, dans son discours, que ce différend n’aboutira pas à une partie vainqueur et une partie vaincue, notant que s’il se poursuit, il aura des effets néfastes sur le Conseil de Coopération du Golfe et sur ses intérêts.
Il a, d’autres part, considéré que les pays du blocus « ont eu pour objectif, par leurs mesures, de provoquer un choc politique affectant la stabilité de notre pays et nous obligeant à accepter la tutelle et à céder notre indépendance », ajoutant que leur deuxième plan vise à déstabiliser l’économie du Qatar.
Il a précisé, dans ce sens, que le riyal qatari a été visé.
Evoquant les affaires internes du Qatar, l’émir a indiqué que « le gouvernement prépare actuellement les élections du Conseil de la choura et met en place les outils législatifs nécessaires qui garantissent le bon déroulement de ces élections ».