Iran : Rohani met en garde contre l'insécurité des routes maritimes internationales
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Le président iranien, Hassan Rohani, a mis en garde, mercredi, contre le fait que les carrefours maritimes internationales ne seront plus « aussi sécurisés qu’ils ne l’étaient par le passé » en cas d’interdictions visant les exportations iraniennes en hydrocarbures.
D’après la télévision gouvernementale iranienne, Press TV, Rohani a accusé les Etats-Unis de procéder à des actes de terrorisme économique contre des civils iraniens en affirmant que « les Etats-Unis sont désormais perçus à l’échelle internationale comme isolés et pas dignes de confiance ».
L’Iran contrôle le détroit d’Ormuz, l’un des plus importants carrefours maritimes pour le transport international d’hydrocarbures pour des pays tels que l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, l’Irak, le Qatar, le Koweït à destination des principaux marchés asiatiques.
L’Iran a menacé à plusieurs reprises d’interrompre le transport des cargaisons de pétrole via le détroit d’Ormuz engendrant de graves répercussions sur l’Inde, la Chine et des dizaines de pays importateurs de Brent.
La tension s’est accentuée entre Washington et des pays du Golfe, d’une part, et l’Iran, d’autre part, et ce, depuis le désengagement partiel de Téhéran de l’accord de Vienne sur le nucléaire.
L’Iran avait pris cette décision, en mai dernier, un an après le retrait de Washington de l’accord et la mise en place de nouvelles sanctions pour l’obliger à renégocier certaines dispositions de l'accord de Vienne.
L’Iran contrôle le détroit d’Ormuz, l’un des plus importants carrefours maritimes pour le transport international d’hydrocarbures pour des pays tels que l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis, l’Irak, le Qatar, le Koweït à destination des principaux marchés asiatiques.
L’Iran a menacé à plusieurs reprises d’interrompre le transport des cargaisons de pétrole via le détroit d’Ormuz engendrant de graves répercussions sur l’Inde, la Chine et des dizaines de pays importateurs de Brent.
La tension s’est accentuée entre Washington et des pays du Golfe, d’une part, et l’Iran, d’autre part, et ce, depuis le désengagement partiel de Téhéran de l’accord de Vienne sur le nucléaire.
L’Iran avait pris cette décision, en mai dernier, un an après le retrait de Washington de l’accord et la mise en place de nouvelles sanctions pour l’obliger à renégocier certaines dispositions de l'accord de Vienne.