La Chambre des représentants des États-Unis approuve de nouvelles sanctions contre Hezbollah
AA
La chambre des représentants des États-Unis a adopté à l'unanimité une nouvelle série de sanctions ciblant les personnes et les gouvernements qui fournissent un soutien financier et militaire au Hezbollah au Liban.
Mercredi, trois projets de loi ont été adoptés à la Chambre des Représentants et approuvés par tous les députés présents à la session.
Le premier texte ; le projet de loi n ° 3329 prévoit d’inclure les personnes et les gouvernements qui fournissent un soutien financier ou militaire au Hezbollah dans la liste de sanctions.
Le projet de loi n ° 3342 a condamné l'utilisation par Hezbollah des civils comme boucliers humains dans certaines régions.
Enfin, le projet n ° 359 a appelé l'Union européenne à considérer Hezbollah comme une organisation terroriste.
La chambre basse du Congrès américain devrait également voter jeudi un autre projet de loi visant à imposer des sanctions contre l'Iran pour son programme de missiles balistiques.
Le président américain a menacé dans sa nouvelle stratégie annoncée récemment de se retirer de l'accord nucléaire avec l'Iran, si le Congrès et les alliés de Washington ne parviennent pas à rattraper leurs «lacunes», jurant d'infliger des «sanctions sévères» contre Téhéran.
Le premier texte ; le projet de loi n ° 3329 prévoit d’inclure les personnes et les gouvernements qui fournissent un soutien financier ou militaire au Hezbollah dans la liste de sanctions.
Le projet de loi n ° 3342 a condamné l'utilisation par Hezbollah des civils comme boucliers humains dans certaines régions.
Enfin, le projet n ° 359 a appelé l'Union européenne à considérer Hezbollah comme une organisation terroriste.
La chambre basse du Congrès américain devrait également voter jeudi un autre projet de loi visant à imposer des sanctions contre l'Iran pour son programme de missiles balistiques.
Le président américain a menacé dans sa nouvelle stratégie annoncée récemment de se retirer de l'accord nucléaire avec l'Iran, si le Congrès et les alliés de Washington ne parviennent pas à rattraper leurs «lacunes», jurant d'infliger des «sanctions sévères» contre Téhéran.