Le Qatar dément l’interception d’un avion civil émirati
AA
Le Qatar a démenti, lundi, l’interception d’un avion civil émirati par ses avions de combat.
La chaîne qatarie "Al-Jazeera" a cité un responsable au ministère des Affaires étrangères (sans le nommer) qui dément l’interception d’un avion émirati par des avions de combat de son pays.
Cette déclaration intervient quelque temps après l’annonce de l’Instance de l’Aviation civile émiratie sur l’interception de l’un de ses avions par des chasseurs qataris.
L’agence de presse émiratie officielle a cité l’Instance de l’Aviation civile indiquant qu’elle avait reçu « un communiqué de l’une de ses compagnies nationales annonçant l’interception d’un avion civil lors d’un vol ordinaire vers Manama et au cours de son itinéraire habituel, par des avions de combat qataris ».
L’Instance de l’Aviation a considéré cet incident comme étant une grave menace à la sécurité de l’aviation civile et une violation flagrante des lois et conventions internationales.
Elle a précisé, dans le même sens, que « le vol en question est ordinaire, son itinéraire est connu et respecte toutes les conventions internationales ».
Et de poursuivre que les Emirats « refusent cette menace à la sécurité de l’aviation civile et prendront toutes les mesures légales et nécessaires pour garantir la sécurité de l’aviation civile ».
Doha avait déposé, vendredi dernier, une plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations unies contre les Émirats arabes unis, après le viol de l’espace aérien qatari par un avion de combat émirati, le 3 janvier courant.
La plainte a été déposée le lendemain de l’annonce qatarie sur le viol de son espace aérien par un avion de combat émirati, le 21 décembre dernier, ce que la partie émiratie avait démentie.
Cette déclaration intervient quelque temps après l’annonce de l’Instance de l’Aviation civile émiratie sur l’interception de l’un de ses avions par des chasseurs qataris.
L’agence de presse émiratie officielle a cité l’Instance de l’Aviation civile indiquant qu’elle avait reçu « un communiqué de l’une de ses compagnies nationales annonçant l’interception d’un avion civil lors d’un vol ordinaire vers Manama et au cours de son itinéraire habituel, par des avions de combat qataris ».
L’Instance de l’Aviation a considéré cet incident comme étant une grave menace à la sécurité de l’aviation civile et une violation flagrante des lois et conventions internationales.
Elle a précisé, dans le même sens, que « le vol en question est ordinaire, son itinéraire est connu et respecte toutes les conventions internationales ».
Et de poursuivre que les Emirats « refusent cette menace à la sécurité de l’aviation civile et prendront toutes les mesures légales et nécessaires pour garantir la sécurité de l’aviation civile ».
Doha avait déposé, vendredi dernier, une plainte auprès du Conseil de sécurité des Nations unies contre les Émirats arabes unis, après le viol de l’espace aérien qatari par un avion de combat émirati, le 3 janvier courant.
La plainte a été déposée le lendemain de l’annonce qatarie sur le viol de son espace aérien par un avion de combat émirati, le 21 décembre dernier, ce que la partie émiratie avait démentie.