Le documentaire "Le Grand 'Petit Miloudi' une échappée d'antan" de Leila El Amine Demnati primé au Festival international du film panafricain à Cannes
MAP
Paris - Le documentaire "Le Grand 'Petit Miloudi' une échappée d'antan" réalisé par Leila El Amine Demnati a été primé lors du Festival international du film panafricain dont la 15-ème édition s'est tenue la semaine dernière à Cannes en France.
Co-écrit et coproduit par Leila El Amine Demnati et Abdelhamid Karim, ce film qui documente l'histoire du cyclisme au Maroc sous protectorat a ainsi reçu la mention spéciale du jury.
L'œuvre, de 75 minutes, retrace la vie de coureurs cyclistes d’avant l’indépendance et rend hommage aux pionniers du sport, contribuant a la préservation de leur mémoire, une étape importante dans l’histoire contemporaine du Maroc.
Dans ce peloton (le film) d’anciens coureurs, le "Petit Miloudi" est le meneur (le personnage principal), mais à chaque fois nous assisterons à une échappée (apparition) d’un protagoniste à la manière d’un tandem d’échappée, où chacun son tour de mener l’histoire que nous vous racontons.
"Petit Miloudi" nous raconte avec humour et nostalgie son enfance, les grands moments de sa carrière et sa vie … jamais loin d’un vélo.
Composé de saisissantes images d’archives sur le cyclisme des années 50 et la période du protectorat, ce film est enrichi de nombreux témoignages, des plus grands coureurs de leurs époques encore vivants, qui soulignent tous le courage de vaincre et la détermination de ces hommes. A entendre "Petit Miloudi" raconter son histoire sur le tour du Maroc, on l’imagine, à cette époque des années 50, jeune et heureux avec son vélo, arpentant les pentes, qu’il neige ou qu’il pleuve, pédalant de toute ses forces pour être parmi les premiers à couper le ruban d’arrivée.
Ce film est pour immortaliser l’histoire de "Petit Miloudi" sans sombrer dans le portrait ou la biographie, mais il est le fil conducteur pour parler de lui et d’autres coureurs, d’un vécu, d’une grande aventure.
La séquence cruciale de ce documentaire est cette rencontre, 60 ans plus tard, entre Miloudi et les coureurs d’antan, encore vivants. Mais aussi ce moment de visionnage d’images d’archives où ils se voient courir, peut être, pour la première fois. Organisé par l'Association Nord-Sud développement, le Festival international du film panafricain de Cannes se veut, selon ses initiateurs, une plateforme d'exposition du cinéma et de ses métiers, des arts et des savoirs-faire, mais également de l'innovation, de la culture et de l'événementiel.
Moteur de développement de l'industrie du cinéma et des arts panafricains, le festival recherche en permanence des solutions spécifiques au développement du cinéma et des arts panafricains, soulignent les organisateurs.
L'œuvre, de 75 minutes, retrace la vie de coureurs cyclistes d’avant l’indépendance et rend hommage aux pionniers du sport, contribuant a la préservation de leur mémoire, une étape importante dans l’histoire contemporaine du Maroc.
Dans ce peloton (le film) d’anciens coureurs, le "Petit Miloudi" est le meneur (le personnage principal), mais à chaque fois nous assisterons à une échappée (apparition) d’un protagoniste à la manière d’un tandem d’échappée, où chacun son tour de mener l’histoire que nous vous racontons.
"Petit Miloudi" nous raconte avec humour et nostalgie son enfance, les grands moments de sa carrière et sa vie … jamais loin d’un vélo.
Composé de saisissantes images d’archives sur le cyclisme des années 50 et la période du protectorat, ce film est enrichi de nombreux témoignages, des plus grands coureurs de leurs époques encore vivants, qui soulignent tous le courage de vaincre et la détermination de ces hommes. A entendre "Petit Miloudi" raconter son histoire sur le tour du Maroc, on l’imagine, à cette époque des années 50, jeune et heureux avec son vélo, arpentant les pentes, qu’il neige ou qu’il pleuve, pédalant de toute ses forces pour être parmi les premiers à couper le ruban d’arrivée.
Ce film est pour immortaliser l’histoire de "Petit Miloudi" sans sombrer dans le portrait ou la biographie, mais il est le fil conducteur pour parler de lui et d’autres coureurs, d’un vécu, d’une grande aventure.
La séquence cruciale de ce documentaire est cette rencontre, 60 ans plus tard, entre Miloudi et les coureurs d’antan, encore vivants. Mais aussi ce moment de visionnage d’images d’archives où ils se voient courir, peut être, pour la première fois. Organisé par l'Association Nord-Sud développement, le Festival international du film panafricain de Cannes se veut, selon ses initiateurs, une plateforme d'exposition du cinéma et de ses métiers, des arts et des savoirs-faire, mais également de l'innovation, de la culture et de l'événementiel.
Moteur de développement de l'industrie du cinéma et des arts panafricains, le festival recherche en permanence des solutions spécifiques au développement du cinéma et des arts panafricains, soulignent les organisateurs.