Le mouvement en faveur des droits des femmes n'a jamais été aussi fort, selon Clinton
Reuters
Washington - La dynamique en faveur de la reconnaissance des droits des femmes n‘a jamais été aussi forte qu‘en ce moment, a estimé lundi Hillary Clinton, évoquant notamment les prises de parole suscitées par l‘affaire Harvey Weinstein et ses suites.
L‘ex-candidate démocrate à l’élection présidentielle, qui ambitionnait de briser le “plafond de verre ultime” en devenant la première présidente des Etats-Unis, a ajouté qu‘elle ne voyait pas ce mouvement s’éteindre.
Clinton, qui s‘exprimait lors d‘une cérémonie rendant hommage à des défenseurs des droits de l‘homme, a évoqué la forte mobilisation lors des manifestations organisées à travers le monde pour promouvoir notamment l’égalité salariale entre les hommes et les femmes.
Elle a aussi fait allusion aux campagnes lancées sur les réseaux sociaux sous les mots-clefs #MeToo ou #TimesUp pour dénoncer le harcèlement et les inconduites sexuels ainsi que le mouvement visant à inciter les femmes à s‘inscrire sur les listes électorales pour combattre dans les urnes les politiques de Donald Trump jugées hostiles au droit des femmes, telle que la restriction du contrôle des naissances.
“Le battement régulier de ces femmes réclamant qu‘on écoute leurs expériences n‘a jamais été aussi fort”, a-t-elle dit. “Nous ne reviendrons pas en arrière, et les voix des femmes ne se tairont pas.”
Hillary Clinton, qui était invitée par l‘Institut pour les femmes, la paix et la sécurité de l‘université de Georgetown à Washington, a noté en revanche que les droits humains étaient globalement en danger dans le monde.
“La situation s‘est améliorée mais nous sommes à un point d‘inflexion où je crains qu‘elle commence à se détériorer et à se dégrader à nouveau”, a-t-elle déclaré. En cause, a-t-elle dit, le modèle d’“autorité verticale” et le recul de l’état de droit.
D‘autant, a-t-elle poursuivi, que les Etats-Unis version Donald Trump ne jouent plus leur rôle historique de modèle de droits et de justice.
“Je ne veux pas que nous ayons le sentiment que cela n‘est plus notre affaire désormais. Nous devons agir davantage pour rétablir la voix de l‘Amérique dans ce domaine”, a dit Clinton.
Clinton, qui s‘exprimait lors d‘une cérémonie rendant hommage à des défenseurs des droits de l‘homme, a évoqué la forte mobilisation lors des manifestations organisées à travers le monde pour promouvoir notamment l’égalité salariale entre les hommes et les femmes.
Elle a aussi fait allusion aux campagnes lancées sur les réseaux sociaux sous les mots-clefs #MeToo ou #TimesUp pour dénoncer le harcèlement et les inconduites sexuels ainsi que le mouvement visant à inciter les femmes à s‘inscrire sur les listes électorales pour combattre dans les urnes les politiques de Donald Trump jugées hostiles au droit des femmes, telle que la restriction du contrôle des naissances.
“Le battement régulier de ces femmes réclamant qu‘on écoute leurs expériences n‘a jamais été aussi fort”, a-t-elle dit. “Nous ne reviendrons pas en arrière, et les voix des femmes ne se tairont pas.”
Hillary Clinton, qui était invitée par l‘Institut pour les femmes, la paix et la sécurité de l‘université de Georgetown à Washington, a noté en revanche que les droits humains étaient globalement en danger dans le monde.
“La situation s‘est améliorée mais nous sommes à un point d‘inflexion où je crains qu‘elle commence à se détériorer et à se dégrader à nouveau”, a-t-elle déclaré. En cause, a-t-elle dit, le modèle d’“autorité verticale” et le recul de l’état de droit.
D‘autant, a-t-elle poursuivi, que les Etats-Unis version Donald Trump ne jouent plus leur rôle historique de modèle de droits et de justice.
“Je ne veux pas que nous ayons le sentiment que cela n‘est plus notre affaire désormais. Nous devons agir davantage pour rétablir la voix de l‘Amérique dans ce domaine”, a dit Clinton.