Macron : "Le processus de remaniement du gouvernement avance dans le calme"
Agences
Le président français Emmanuel Macron a assuré, vendredi, que le processus de remaniement du gouvernement avançait «dans le calme», «avec méthode» et au «bon rythme».
«Je fais les choses dans le calme, dans le respect des personnes. J'essaie de faire les choses de manière professionnelle», a affirmé le chef de l'Etat français dans un entretien recueilli par France 24 et RFI à Erevan, en Arménie, où il vient de participer au Sommet de la francophonie.
Un tel remaniement "c'est important, ce sont des engagements, et donc il faut faire les choses avec méthode, au bon rythme", a souligné le président Macron sans donner d’indication sur la date de son annonce officielle.
"Le gouvernement est au travail. Aucun poste n'est vacant. Les choses avancent. Et cela m'a permis d'être ici à Erevan, où nous avons défendu notre langue, nos valeurs...", a fait remarquer M. Macron aux deux organes de presse partenaires du Sommet.
Avant le départ mercredi du président Macron pour l’Arménie, l’Elysée avait indiqué qu’il n'y aura pas de remaniement avant son retour vendredi soir.
Le chef de l’Etat français "souhaite prendre tout le temps nécessaire, dans le calme, le professionnalisme et le respect des personnes, à la composition d'une équipe cohérente et de qualité au service des Français", avait ajouté la présidence française.
Le chef de l’Etat français avait accepté, la semaine dernière, la démission du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, critiqué par l'opposition depuis qu'il a annoncé sa volonté de quitter ses fonctions en mai 2019 pour briguer la mairie de Lyon, et chargé le premier ministre d’assurer l’intérim.
En septembre dernier, un léger remaniement du gouvernement avait concerné les portefeuilles de l’Écologie et celui des Sports. Ce remaniement était le troisième du genre depuis le début du quinquennat du président Macron en mai 2017.
Un premier remaniement d’ordre "technique" avait en effet eu lieu en juin 2017 après la très large victoire de La République en Marche (LaREM du président Macron) aux élections législatives.
Quant au second remaniement, il est intervenu en novembre de la même année après la nomination du secrétaire d’État chargé des relations avec le parlement et porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, à la tête du parti présidentiel.
«Je fais les choses dans le calme, dans le respect des personnes. J'essaie de faire les choses de manière professionnelle», a affirmé le chef de l'Etat français dans un entretien recueilli par France 24 et RFI à Erevan, en Arménie, où il vient de participer au Sommet de la francophonie.
Un tel remaniement "c'est important, ce sont des engagements, et donc il faut faire les choses avec méthode, au bon rythme", a souligné le président Macron sans donner d’indication sur la date de son annonce officielle.
"Le gouvernement est au travail. Aucun poste n'est vacant. Les choses avancent. Et cela m'a permis d'être ici à Erevan, où nous avons défendu notre langue, nos valeurs...", a fait remarquer M. Macron aux deux organes de presse partenaires du Sommet.
Avant le départ mercredi du président Macron pour l’Arménie, l’Elysée avait indiqué qu’il n'y aura pas de remaniement avant son retour vendredi soir.
Le chef de l’Etat français "souhaite prendre tout le temps nécessaire, dans le calme, le professionnalisme et le respect des personnes, à la composition d'une équipe cohérente et de qualité au service des Français", avait ajouté la présidence française.
Le chef de l’Etat français avait accepté, la semaine dernière, la démission du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, critiqué par l'opposition depuis qu'il a annoncé sa volonté de quitter ses fonctions en mai 2019 pour briguer la mairie de Lyon, et chargé le premier ministre d’assurer l’intérim.
En septembre dernier, un léger remaniement du gouvernement avait concerné les portefeuilles de l’Écologie et celui des Sports. Ce remaniement était le troisième du genre depuis le début du quinquennat du président Macron en mai 2017.
Un premier remaniement d’ordre "technique" avait en effet eu lieu en juin 2017 après la très large victoire de La République en Marche (LaREM du président Macron) aux élections législatives.
Quant au second remaniement, il est intervenu en novembre de la même année après la nomination du secrétaire d’État chargé des relations avec le parlement et porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, à la tête du parti présidentiel.