Menaces d'un site islamiste contre Hollande: enquête au parquet de Paris
AFP
Paris - François Hollande accueilli par la présidente par intérim centrafricaine Catherine Samba-Panza, le 28 février 2014 à Bangui
"A nos loups solitaires en France, exécutez la tête de l'athéisme et de la criminalité. Terrorisez son maudit gouvernement, faites les exploser et faites leur vivre l'horreur", indique le document posté sur "La plateforme médiatique des Moujahidine", proche d'Al-Qaïda.
"Ni Hollande, ni ses soldats ne connaîtront la paix en France à moins que les musulmans du Mali et de la Centrafrique ne la vivent concrètement chez eux", ajoutent les jihadistes.
Accusant la France de "mener et de soutenir le nettoyage ethnique et les croisades meurtrières contre les musulmans en Centrafrique", les jihadistes interpellent leurs partisans en France pour qu'ils "retracent le chemin de Mohamed Merah et déclenchent la guerre en France jusqu'à l'arrêt total de ses agressions au Mali et en Centrafrique".
L'enquête préliminaire est ouverte pour menaces de crime ou de délit en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, a précisé la source judiciaire.
Elle est confiée à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la direction centrale de la police judiciaire.
Selon son entourage, le président Hollande a estimé mardi que si de telles menaces ne constituaient pas une première, il fallait être "extrêmement vigilants".
"Ni Hollande, ni ses soldats ne connaîtront la paix en France à moins que les musulmans du Mali et de la Centrafrique ne la vivent concrètement chez eux", ajoutent les jihadistes.
Accusant la France de "mener et de soutenir le nettoyage ethnique et les croisades meurtrières contre les musulmans en Centrafrique", les jihadistes interpellent leurs partisans en France pour qu'ils "retracent le chemin de Mohamed Merah et déclenchent la guerre en France jusqu'à l'arrêt total de ses agressions au Mali et en Centrafrique".
L'enquête préliminaire est ouverte pour menaces de crime ou de délit en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, a précisé la source judiciaire.
Elle est confiée à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la direction centrale de la police judiciaire.
Selon son entourage, le président Hollande a estimé mardi que si de telles menaces ne constituaient pas une première, il fallait être "extrêmement vigilants".