New York Times: Des preuves de l’assassinat d’Al-Batch par le Mossad
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Le quotidien américain "The New York Times" (NYT) a rapporté, jeudi, qu’il existe des preuves confirmant que l’Institut israélien pour les renseignements et les affaires spéciales (Mossad) était derrière l’assassinat en Malaisie, du professeur universitaire palestinien, Fadi Al-Batch.
Citant des responsables auprès des services de renseignement d’un pays du Moyen-Orient, NYT a indiqué que l’assassinat s’inscrivait dans le cadre d’une large opération ordonnée par le chef du Mossad, Yossi Cohen.
L’opération vise, selon le quotidien américain, "à contrecarrer un programme de Hamas qui prévoit d’envoyer des scientifiques et des ingénieurs de Gaza à l’étranger pour recueillir des informations et acquérir un savoir-faire pour combattre Israël".
Selon les responsables anonymes cités par NYT, le Mossad accordait une importance particulière aux progrès réalisés par Hamas dans le domaine des véhicules aériens (drones) et sous-marins capables de renforcer les capacités offensives stratégiques de Gaza.
Les responsables ont attribué l'importance de ces véhicules à "leurs capacités de cibler plus efficacement les positions israéliennes que les roquettes utilisées par Hamas lors de ses récentes guerres avec Israël".
Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Liberman, avait, quant à lui, "accusé des rivaux de la direction palestinienne, à l’intérieur, de mener l’assassinat", a ajouté le quotidien américain faisant allusion à une tentative d’Israël de désavouer sa responsabilité de l’assassinat d’Albatsh.
NYT a, d’autre part, rapporté que la Malaisie avait soutenu la Cause palestinienne au fil des années, n'avait pas de relations diplomatiques avec Israël et son Premier ministre, Najib Razak, avait visité Gaza en 2013 à l’invitation de Hamas.
Fadi Al-Batch, chercheur en génie électrique a été assassiné, samedi dernier, en Malaisie alors qu’il se dirigeait vers une mosquée proche de sa maison pour accomplir la prière d’al-Fajr (l’aube).
Aucune partie n’a revendiqué la responsabilité de l’assassinat. Cependant, la famille Al-Batch à Gaza a accusé le Mossad d’être derrière l’attaque. Les autorités malaisiennes ont, de leur côté, accusé un pays du Moyen-Orient impliqué dans la destruction des compétences du peuple palestinien, soulignant la poursuite des enquêtes.
L’opération vise, selon le quotidien américain, "à contrecarrer un programme de Hamas qui prévoit d’envoyer des scientifiques et des ingénieurs de Gaza à l’étranger pour recueillir des informations et acquérir un savoir-faire pour combattre Israël".
Selon les responsables anonymes cités par NYT, le Mossad accordait une importance particulière aux progrès réalisés par Hamas dans le domaine des véhicules aériens (drones) et sous-marins capables de renforcer les capacités offensives stratégiques de Gaza.
Les responsables ont attribué l'importance de ces véhicules à "leurs capacités de cibler plus efficacement les positions israéliennes que les roquettes utilisées par Hamas lors de ses récentes guerres avec Israël".
Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Liberman, avait, quant à lui, "accusé des rivaux de la direction palestinienne, à l’intérieur, de mener l’assassinat", a ajouté le quotidien américain faisant allusion à une tentative d’Israël de désavouer sa responsabilité de l’assassinat d’Albatsh.
NYT a, d’autre part, rapporté que la Malaisie avait soutenu la Cause palestinienne au fil des années, n'avait pas de relations diplomatiques avec Israël et son Premier ministre, Najib Razak, avait visité Gaza en 2013 à l’invitation de Hamas.
Fadi Al-Batch, chercheur en génie électrique a été assassiné, samedi dernier, en Malaisie alors qu’il se dirigeait vers une mosquée proche de sa maison pour accomplir la prière d’al-Fajr (l’aube).
Aucune partie n’a revendiqué la responsabilité de l’assassinat. Cependant, la famille Al-Batch à Gaza a accusé le Mossad d’être derrière l’attaque. Les autorités malaisiennes ont, de leur côté, accusé un pays du Moyen-Orient impliqué dans la destruction des compétences du peuple palestinien, soulignant la poursuite des enquêtes.