Samsung et l'allemand Axel Springer lancent une plateforme d'informations sur mobile
AMI
Bérlin - Samsung et le géant allemand des médias Axel Springer ont annoncé mardi un partenariat qui donnera naissance à une plateforme d'informations sur les smartphones et tablettes de la marque coréenne.
"Comme premier résultat de ce partenariat, Axel Springer et Samsung présentent la version beta d'UPDAY - une plateforme de contenus pour l'agrégation d'informations, qui doit débuter pleinement dans le courant de l'année prochaine", a expliqué Axel Springer dans un communiqué.
Cette première version d'UPDAY sera disponible au téléchargement en Allemagne et en Pologne dès jeudi, à la veille de l'ouverture au public du salon IFA de Berlin. Samsung se rend chaque année à cette grand messe de l'électronique européenne et en profite pour y dévoiler de nombreux produits.
Avec ce partenariat, Axel Springer s'associe à un fabricant de smartphones qui tourne sous Androïd, le système d'exploitation de Google. Le groupe, éditeur du tabloïd Bild, le quotidien le plus d'Allemagne, avait l'an dernier tenté d'empêcher la firme californienne d'utiliser certains de ses contenus gratuitement, avant de finalement capituler face à la toute-puissance du moteur de recherche.
"Comme premier résultat de ce partenariat, Axel Springer et Samsung présentent la version beta d'UPDAY - une plateforme de contenus pour l'agrégation d'informations, qui doit débuter pleinement dans le courant de l'année prochaine", a expliqué Axel Springer dans un communiqué.
Cette première version d'UPDAY sera disponible au téléchargement en Allemagne et en Pologne dès jeudi, à la veille de l'ouverture au public du salon IFA de Berlin. Samsung se rend chaque année à cette grand messe de l'électronique européenne et en profite pour y dévoiler de nombreux produits.
Avec ce partenariat, Axel Springer s'associe à un fabricant de smartphones qui tourne sous Androïd, le système d'exploitation de Google. Le groupe, éditeur du tabloïd Bild, le quotidien le plus d'Allemagne, avait l'an dernier tenté d'empêcher la firme californienne d'utiliser certains de ses contenus gratuitement, avant de finalement capituler face à la toute-puissance du moteur de recherche.