Tunisie: Un soldat tué par un tir de son collègue
AA
Le ministère tunisien de la Défense a annoncé, mardi, la mort d’un soldat touché par un tir de son collègue, dans l’une des casernes de la capitale tunisienne.
Le porte-parole du ministère, Belhassen Oueslati, a déclaré à Anadolu, «qu’un militaire est mort mardi à la suite d’une blessure causée par une balle tirée de l’arme de son collègue, lors de la relève de la garde, dans l’une des casernes de la capitale ».
Oueslati a ajouté que le tribunal militaire s’est chargé d’ouvrir une enquête judiciaire pour révéler les circonstances de l’incident, sans préciser s’il s’agit d’un tir prémédité ou d’un accident.
Deux ans plus tôt, un soldat tunisien, dans la caserne de Bouchoucha à Bardo dans l’est de la capitale Tunis, a tiré sur ses collègues lors du salut quotidien du drapeau, faisant 8 morts et 10 blessés.
Le ministère de la Défense a indiqué que «le soldat avait des problèmes familiaux et souffrait de troubles du comportement, il a été exempté de port d’armes ».
L’armée tunisienne, ayant célébré son 61ème anniversaire en fin de juin dernier, est confrontée à des défis majeurs à cause des attaques menées par les organisations terroristes dans le pays après la Révolution de 2011.
Depuis la fin de 2012, des dizaines d’éléments sécuritaires et de militaires ont été tués dans des embuscades et des attaques terroristes, avant que la crise sécuritaire ne s’approfondisse en 2015, à la suite de 3 attaques terroristes sanglantes revendiquées par Daech, qui ont entraîné la mort de 2 sécuritaires et de plusieurs touristes étrangers.
Oueslati a ajouté que le tribunal militaire s’est chargé d’ouvrir une enquête judiciaire pour révéler les circonstances de l’incident, sans préciser s’il s’agit d’un tir prémédité ou d’un accident.
Deux ans plus tôt, un soldat tunisien, dans la caserne de Bouchoucha à Bardo dans l’est de la capitale Tunis, a tiré sur ses collègues lors du salut quotidien du drapeau, faisant 8 morts et 10 blessés.
Le ministère de la Défense a indiqué que «le soldat avait des problèmes familiaux et souffrait de troubles du comportement, il a été exempté de port d’armes ».
L’armée tunisienne, ayant célébré son 61ème anniversaire en fin de juin dernier, est confrontée à des défis majeurs à cause des attaques menées par les organisations terroristes dans le pays après la Révolution de 2011.
Depuis la fin de 2012, des dizaines d’éléments sécuritaires et de militaires ont été tués dans des embuscades et des attaques terroristes, avant que la crise sécuritaire ne s’approfondisse en 2015, à la suite de 3 attaques terroristes sanglantes revendiquées par Daech, qui ont entraîné la mort de 2 sécuritaires et de plusieurs touristes étrangers.