Volvo Cars cherche des fonds pour sa voiture électrique Polestar
Reuters
STOCKHOLM - Volvo Cars discute avec des investisseurs chinois et américains afin de trouver des financements pour sa marque de voitures électriques Polestar, a déclaré jeudi le directeur général du groupe suédois.
Jusqu’à présent, Volvo a financé en interne le développement de ses voitures électriques et autonomes mais, à l’instar de ses concurrents, il est confronté au ralentissement du marché automobile en Europe et en Chine.
“L’avenir de la mobilité, de l’électrification et de la conduite autonome suscite actuellement un grand intérêt en termes d’investissements. Je pense donc que nous avons une histoire très forte à proposer avec Polestar, qui est attrayante pour beaucoup”, a déclaré à la presse Hakan Samuelsson.
“Nous discutons déjà aujourd’hui avec des investisseurs potentiels.”
La levée de fonds pourrait être réalisée via un placement privé et dépendrait d’une bonne valorisation et d’un dossier attrayant, a-t-il ajouté.
Volvo et sa maison mère chinoise Geely détiennent chacun 50% du capital de Polestar depuis 2017, quand ils ont convenu d’investir conjointement 5 milliards de yuans pour financer le développement initial de la société en tant que constructeur de voitures électriques de luxe.
Polestar doit présenter le 27 février sa future berline Polestar 2. Ce sera le premier des cinq véhicules entièrement électriques que Volvo a promis de commercialiser.
Des experts du secteur automobile estiment que la Polestar 2 peut potentiellement défier la Model 3 de Tesla si elle tient la promesse d’une autonomie de près de 500 km à un prix catalogue d’environ 40.000 euros.
L’objectif de Polestar serait d’avoir pour commencer une production annuelle de 50.000 à 100.000 de ses trois premiers modèles - qui comprennent aussi l’hybride Polestar 1 et un SUV à venir d’ici 2021 -, vendus pour moitié en Chine, le reste aux Etats-Unis et en Europe.
En septembre, Volvo a renoncé à un projet d’introduction en Bourse en raison des tensions commerciales et du ralentissement de l’industrie automobile.
Hakan Samuelsson a déclaré jeudi que même si une cotation restait une option pour Volvo et une probabilité pour Polestar, il n’y avait aucun projet en préparation pour le moment.
Polestar s’est refusé à commenter ces propos.
“L’avenir de la mobilité, de l’électrification et de la conduite autonome suscite actuellement un grand intérêt en termes d’investissements. Je pense donc que nous avons une histoire très forte à proposer avec Polestar, qui est attrayante pour beaucoup”, a déclaré à la presse Hakan Samuelsson.
“Nous discutons déjà aujourd’hui avec des investisseurs potentiels.”
La levée de fonds pourrait être réalisée via un placement privé et dépendrait d’une bonne valorisation et d’un dossier attrayant, a-t-il ajouté.
Volvo et sa maison mère chinoise Geely détiennent chacun 50% du capital de Polestar depuis 2017, quand ils ont convenu d’investir conjointement 5 milliards de yuans pour financer le développement initial de la société en tant que constructeur de voitures électriques de luxe.
Polestar doit présenter le 27 février sa future berline Polestar 2. Ce sera le premier des cinq véhicules entièrement électriques que Volvo a promis de commercialiser.
Des experts du secteur automobile estiment que la Polestar 2 peut potentiellement défier la Model 3 de Tesla si elle tient la promesse d’une autonomie de près de 500 km à un prix catalogue d’environ 40.000 euros.
L’objectif de Polestar serait d’avoir pour commencer une production annuelle de 50.000 à 100.000 de ses trois premiers modèles - qui comprennent aussi l’hybride Polestar 1 et un SUV à venir d’ici 2021 -, vendus pour moitié en Chine, le reste aux Etats-Unis et en Europe.
En septembre, Volvo a renoncé à un projet d’introduction en Bourse en raison des tensions commerciales et du ralentissement de l’industrie automobile.
Hakan Samuelsson a déclaré jeudi que même si une cotation restait une option pour Volvo et une probabilité pour Polestar, il n’y avait aucun projet en préparation pour le moment.
Polestar s’est refusé à commenter ces propos.