New York (Nations-Unies), 12/10/2018 (MAP) – Le détournement par le polisario de l’aide humanitaire destinée aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf, sur le territoire algérien, a été dénoncé comme un "crime de lèse humanité", jeudi devant la 4è Commission de l’Assemblée générale des Nations-Unies.
"Il s’agit d’un crime de lèse humanité imprescriptible commis intentionnellement et systématiquement contre une population civile sans défense, retenue et forcée de vivre dans des conditions inhumaines ", s’est indigné devant la Commission, Adalberto Carlos Agozino, Directeur de l’Observatoire de paix et de sécurité en Afrique de l’université de la Défense de l’Argentine.
Une tel crime, a soutenu le pétitionnaire argentin, outrepasse les limites tolérées par la communauté internationale, qui doit en réclamer la sanction aux différents organes onusiens et les instances internationales judiciairement compétentes.
Selon lui, les dirigeants du polisario, en collaboration avec certains responsables algériens, ont mis en place une structure illicite, avec pour but de dévier l’itinéraire de l’aide allouée par la communauté internationale au profit des populations de Tindouf et d’orchestrer sa vente illégale dans les marché africains.
Et d’ajouter que "cette structure mafieuse collabore étroitement avec les réseaux criminels locaux, connus pour leurs liens avec le narcotrafic, la traite des êtres humains et le trafic de migrants.
M. Agozino a rappelé que plusieurs organismes humanitaires et organisations non gouvernementales ont dénoncé cette structure de corruption et d’exploitation frauduleuse de cette aide destinée aux populations séquestrées à Tinfouf .
"Il s’agit d’un crime de lèse humanité imprescriptible commis intentionnellement et systématiquement contre une population civile sans défense, retenue et forcée de vivre dans des conditions inhumaines ", s’est indigné devant la Commission, Adalberto Carlos Agozino, Directeur de l’Observatoire de paix et de sécurité en Afrique de l’université de la Défense de l’Argentine.
Une tel crime, a soutenu le pétitionnaire argentin, outrepasse les limites tolérées par la communauté internationale, qui doit en réclamer la sanction aux différents organes onusiens et les instances internationales judiciairement compétentes.
Selon lui, les dirigeants du polisario, en collaboration avec certains responsables algériens, ont mis en place une structure illicite, avec pour but de dévier l’itinéraire de l’aide allouée par la communauté internationale au profit des populations de Tindouf et d’orchestrer sa vente illégale dans les marché africains.
Et d’ajouter que "cette structure mafieuse collabore étroitement avec les réseaux criminels locaux, connus pour leurs liens avec le narcotrafic, la traite des êtres humains et le trafic de migrants.
M. Agozino a rappelé que plusieurs organismes humanitaires et organisations non gouvernementales ont dénoncé cette structure de corruption et d’exploitation frauduleuse de cette aide destinée aux populations séquestrées à Tinfouf .