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New York, 12/10/2018 (MAP), Le juriste français, Hubert Seillan, a mis en exergue, jeudi à New York, le rôle tre s concret joue par les instances de me diation et tout particulie rement les Commissions régionales du Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) au Sahara marocain.
Mettant en relief les mesures prises par le Maroc pour promouvoir la démocratie et les droits fondamentaux dans ses provinces du sud, l'observateur et expert international des droits de l'Homme a souligné devant la 4è Commission de l’Assemblée générale des Nations-Unies la tre s forte participation citoyenne des populations de ces provinces aux e lections nationale, re gionale et locale.
Il a fait part également de développement d'une vie associative tre s dynamique, dans tous les secteurs de la vie e conomique, sociale et culturelle, et d'une activite artisanale dans la pe che co tie re, tre s innovante, car e trange re a la culture nomade.
Pour M. Seillan, la scolarisation tre s e leve e des enfants et des adolescents et l'existence de nombreux services publics sanitaires, sportifs, culturels et cultuels disposant d’importantes infrastructures mate rielles et de personnels compe tents, témoignent d'un de veloppement tre s dynamique dans le Sahara marocain.
Ces constats sont traduits par un indicateur des droits de l’Homme Indice de de veloppement humain (IDH) qui est supe rieur a la moyenne nationale, a-t-il argué.
Mettant en relief les mesures prises par le Maroc pour promouvoir la démocratie et les droits fondamentaux dans ses provinces du sud, l'observateur et expert international des droits de l'Homme a souligné devant la 4è Commission de l’Assemblée générale des Nations-Unies la tre s forte participation citoyenne des populations de ces provinces aux e lections nationale, re gionale et locale.
Il a fait part également de développement d'une vie associative tre s dynamique, dans tous les secteurs de la vie e conomique, sociale et culturelle, et d'une activite artisanale dans la pe che co tie re, tre s innovante, car e trange re a la culture nomade.
Pour M. Seillan, la scolarisation tre s e leve e des enfants et des adolescents et l'existence de nombreux services publics sanitaires, sportifs, culturels et cultuels disposant d’importantes infrastructures mate rielles et de personnels compe tents, témoignent d'un de veloppement tre s dynamique dans le Sahara marocain.
Ces constats sont traduits par un indicateur des droits de l’Homme Indice de de veloppement humain (IDH) qui est supe rieur a la moyenne nationale, a-t-il argué.
